Et voilà le travail - le blog de l'humain en entreprise

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Habillage du Blog et illustration des témoignages.


France Télécom: « une série de petits détails insidieux, répétés, de petits harcèlements »

« En arrêt maladie, j’ai pris conscience que cette pression n’était pas normale »

« Je dois être à la hauteur du logo de la société, un raton laveur »

« Je me sentais un imposteur à la tête de l’entreprise »

Pour pouvoir continuer à soigner, je fais réparer mon corps tous les mois

« Certaines tâches me paraissaient ne pas pouvoir attendre le lendemain »

« Aux cadres supérieurs se sont ajoutés des cadres coordonnateurs, des cadres de pôle, etc »

« Le mercredi soir, il disparaît et marche toute la nuit »

Judith (1), 35 ans, corrige et réécrit de chez elle, à Paris, des romans à l’eau de rose.

« Les clientes qui demandent des tailles trop petites pour elles sont souvent insupportables »

« Si je découche du Château, un rapport est envoyé à l’Inspecteur »

pouvoir m’en protéger » « J’ai une planche en staff room, et l’obligation du clean desk »

« Je n’en peux plus de faire face à des décisions contraires au service public »

« Nous devenons toutes polyvalentes, et interchangeables »

« À chaque fois qu’ils me voyaient arriver, les salariés baissaient la tête »

« Le rSa pourrait me permettre d’ouvrir un club échangiste »

« Quand je me maquillais, on me traitait de pot de peinture »

« Le travail, pour moi, c’est une discipline de sportif »

« Je dirige mes petits bonshommes. Je les appelle comme ça parce qu’ils sont douillets, les hommes »

« Tout le management d’aujourd’hui consiste à donner envie de travailler plus »

« Il faudrait entrer dans les services à la personne comme on entre en religion »

« On me rétorque qu’assister à des concerts, ce n’est pas vraiment travailler »

« J’ai été reléguée dans un magasin effectuant moins d’un convoi par mois »

Fleur (1) avait un bac+5, elle se retrouve mutée à l’étranger dans un grand groupe et découvre des managers qui la verraient bien secrétaire toute sa vie.

« J’ai reçu des propositions pour du téléphone rose, ou pour un camp de naturistes »

« Je travaille 47h par semaine, pour 1300 euros par mois »

« La Suède ne nous écoute plus »

« Il y a des gens qui ne dorment pas dans mon service, se demandant si leurs calculs sont corrects »

« Les femmes chefs de rayon doivent faire oublier qu’elles ne sont pas des hommes »

« Mon patron m’a testée les premiers mois, pour me « dépuceler », disait-il »